Semaine Européenne de la vaccination

Le ministère des Solidarités et de la Santé lance la semaine européenne de la vaccination (SEV), qui se déroulera du 17 au 21 mai 2021 avec le slogan : « Prévenir, protéger, vacciner ».

 

La Semaine Européenne de la Vaccination (SEV) est un moment fort de l’année pour promouvoir la vaccination. Cet événement est coordonné au niveau national par le ministère des Solidarités et de la Santé et Santé publique France et piloté en région par les Agences Régionales de Santé (ARS).

Malgré la campagne de vaccination massive contre la Covid-19, il ne faut pas oublier l’importance des autres vaccinations pour préserver la santé de tous et à tout âge, que ce soit les vaccinations du nourrisson, mais aussi la vaccination des moins de 40 ans pour stopper les épidémies de rougeole ou la nouvelle extension aux garçons de la vaccination contre le papillomavirus (HPV).

 

Des couvertures vaccinales en augmentation


On observe une amélioration des couvertures vaccinales, qui deviennent une priorité de santé publique et poussent les pouvoirs publics à étendre l’obligation vaccinale chez les enfants de moins de 2 ans. On constate une augmentation des couvertures vaccinales chez les enfants et adolescents nés avant l’entrée en application de la loi.

 

La couverture vaccinale contre la Covid-19 continue également sa progression


Considérée comme un axe essentiel de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, la vaccination permet de réduire significativement les formes graves et la mortalité due au virus. La campagne vaccinale a débuté fin décembre 2020 et sera élargie à toute la population majeure à compter du 15 juin 2021.

Au 17 mai 2021 :

 

  • Plus de 20 millions de personnes ont reçu au moins une dose de vaccin contre la Covid-19 et plus de 8 millions de personnes sont complétement vaccinées, soit respectivement 30,8% et 13,4% de la population en France.

Création d’un centre de santé dans la commune de Jarny en 2023

Signature de la convention qui lie la ville de Jarny, le CHR Metz-Thionville et Oxance

Le 29 Avril, Nicolas Souveton, Président de Oxance, Jacky Zanardo maire de la Ville de Jarny, et Marie-Odile Saillard, directrice générale du Centre Hospitalier Régional Metz-Thionville, ont signé la convention qui va permettre la création d’un centre de santé polyvalent qui verra le jour en mai 2023, dans la commune de Jarny situé en Meurthe-et-Moselle.

Marie-Odile Saillard, Jacky Zanardo et Nicolas Souveton ont profité de la signature de la convention pour visiter les futurs locaux. Photo RL /Yannick PAGLIUCHI

Une offre de soins polyvalente et conventionnée en secteur 1 afin de répondre aux besoins de santé des populations

Cet établissement, le premier de cette envergure dans la région Grand Est pour Oxance, sera implanté au dernier étage de l’espace Giblert-Schwartz avec plus de 800 m2 de surface, et contribuera à la réponse aux besoins de santé des populations.

Il proposera une offre de soins polyvalente conventionnée en secteur 1 avec : de la médecine générale, un pôle mère-enfants, de la médecine spécialisée, un pôle dentaire et  des soins infirmiers. Des logements seront également aménagés dans une maison à proximité.

Un centre qui correspondra aux attente des professionnels de santé

Ce centre de santé offrira également aux professionnel·le·s de santé un cadre d’exercice agréable et neuf, un plateau technique de qualité, un exercice coordonné et la prise en charge de tout le travail administratif. Le partenariat avec l’hôpital permettra, avec l’appui des nouveaux outils numériques notamment, de rapprocher les expertises médicales des habitant·e·s de Jarny.

Face à la crise de la médecine de 1er recours, face à la baisse de la démographie médicale dans de nombreux territoires urbains, périurbains ou ruraux, les solutions ne peuvent émerger que dans le cadre de partenariats s’inscrivant dans des politiques publiques locales ambitieuses.

Rendez-vous en 2023 pour l’inauguration !

Source : Le Républicain Lorrain

Mars bleu : tous mobilisés pour le dépistage du cancer colorectal

Tous mobilisés pour le dépistage du cancer colorectal

Le cancer colorectal, aussi appelé cancer de l’intestin, touche près de 45 000 personnes par an, aussi bien les hommes que les femmes. 17 117 personnes sont décédées en 2018 (95% avaient plus de 50 ans). Peu de gens le savent, mais il y a plus de morts par cancer colorectal que par accident de la route chaque année !  Il fait partie des cancers les plus fréquents (3e rang chez l’homme et 2e chez la femme) et représente la 2ème cause de décès par cancer (2ème cause chez l’homme et 3ème chez la femme).

Pourquoi le dépistage est important ?

Détecté suffisamment tôt, il se guérit dans 9 cas sur 10. Le cancer colorectal regroupe deux cancers (celui du colon et celui du rectum), il se développe à partir de polypes, lésions bénignes de la paroi intestinale, qui finissent par devenir cancéreuses. Les signes qui doivent alerter sont le sang dans les selles, les douleurs abdominales et/ou la fièvre. Mais le cancer se développe souvent en silence, sans symptôme particulier. Le dépistage est accessible à tous les hommes et les femmes âgés de 50 à 74 ans : il est gratuit et efficace, sur invitation tous les 2 ans. En dessous de 50 ans, le dépistage n’est recommandé qu’en cas d’antécédents familiaux. L’interlocuteur privilégié est le médecin traitant : il évaluera le niveau de risque de son patient, en fonction de son histoire personnelle et/ou familiale et proposera la réalisation du test de dépistage ou une surveillance adaptée.

Un test simple et rapide qui peut vous sauver la vie

Le dépistage consiste en un test immunologique de recherche de sang dans les selles. Il est simple, indolore, à faire chez soi ; différent de la coloscopie, réalisée pour les personnes à risques ou présentant des résultats positifs (4% de cas). Le dépistage est pris en charge à 100% par l’Assurance maladie et financé par l’ARS, voire par les Conseils Départementaux (1).

Un taux de participation au programme de dépistage très inférieur à l’objectif européen fixé*

Malgré les invitations au dépistage envoyées systématiquement aux hommes et femmes ayant l’âge concerné, les taux de participation restent encore faibles. Il est dommage de ne pas profiter de cette chance de rester en bonne santé. D’où l’urgence à alerter, informer, sensibiliser…

Les comportements à adopter pour réduire le risque de cancer :

  • Réduire sa consommation d’alcool
  • Surveiller son poids
  • Arrêter de fumer
  • Pratiquer régulièrement une activité sportive
  • Adopter une alimentation riche en fibres, limiter la consommation de viande rouge ou en viandes transformées (Nuggets de poulet, pâté, jambon, cordons-bleus, saucisses…).

Source : solimut-mutuelle.fr

Campagne de vaccination COVID-19

Oxance participe à la campagne de vaccination COVID-19

Le vaccin reste la meilleure des protections mutuelles contre les maladies épidémiques

​Se faire vacciner, c’est se protéger soi, mais aussi protéger ceux qui nous entourent. Plus une collectivité compte de personnes vaccinées, plus elle prévient les risques d’épidémies. La vaccination permet de sauver des millions de vie chaque année et aide à éliminer des maladies dans de nombreuses régions du monde.

En février 2021, les vaccins disponibles contre la Covid-19 ont démontré leur efficacité pour réduire le nombre de malades. Ils permettent aux personnes vaccinées d’être protégées pour elles-mêmes. C’est la raison pour laquelle les personnes prioritaires pour la vaccination sont les personnes les plus fragiles : personnes de plus de 75 ans et celles, plus jeunes ayant un risque de forme grave de Covid-19. Il s’agit de sauver le plus de vies possible.

Les professionnels de santé sont également prioritaires, car ils sont très exposés au risque de contamination.

Depuis février, nos établissements qui accueillent les personnes âgées ont mis en place des séances de vaccination pour les résidents et le personnel dans le cadre de la stratégie vaccinale déterminée par les pouvoirs publics

L’impact de la Covid est particulièrement important dans les établissements médico-sociaux, en particulier dans les Ehpad qui ont concentré un grand nombre de contaminations depuis le début de l’épidémie. Ainsi, selon les recommandations de La Haute autorité de Santé (HAS), les structures doivent vacciner en premier lieu les personnes âgées en structures d’hébergement, notamment les Ehpad, ainsi que le personnel y travaillant lorsque ces derniers sont susceptibles de développer une forme grave de la Covid-19.

La vaccination contre la Covid-19, couplée avec les mesures barrières, contribuera à maîtriser l’impact de l’épidémie sur le long terme.

Depuis son invention, la vaccination est en effet le dispositif immunologique qui a sauvé le plus de vies à l’échelle mondiale.

La vaccination permet de réduire massivement la mortalité due au virus et à ses formes graves

Ouverture de votre nouveau centre d’Audition Mutualiste

Découvrez votre nouveau centre Ecouter Voir à Ambérieu

Le nouveau centre d’Audition mutualiste Ecouter Voir situé au 3 Place du Champs de Mars à Ambérieu en Bugey, a ouvert ses portes ce lundi 4 janvier 2021.
L’offre d’Audition vient compléter l’offre du centre Ecouter Voir Optique, situé à seulement quelques mètres.
Pour cette nouvelle année, Mme. Michèle COLOMBET, Audioprothésiste diplômée d’Etat et son assistante Mme. Valérie LESAGE, sont heureuses de vous accueillir dans ce nouvel espace qui bénéficie du nouveau concept de point de vente fondé sur les valeurs mutualistes : l’écoute des besoins, la responsabilité, la solidarité et la transparence.

Faites l’expérience de l’audition nouvelle génération

Parce qu’une bonne audition est essentielle pour profiter de la vie, ce nouveau centre Écouter Voir vous propose les dernières innovations, et un parcours dynamique pour établir le contact et la relation, à travers :

• un accueil et un espace d’attente offrant confort et confidentialité
• un espace «accessoires» permettant de tester
• une cabine audio, sous le signe de l’expertise et de la technologie, pour des échanges conviviaux entre l’audioprothésiste et son patient

Venez nous voir, on vous écoute

Notre audioprothésiste D.E et son équipe, sont à votre écoute afin de bien comprendre vos besoins pour vous orienter vers les solutions les mieux adaptées et pour vous accompagner à chaque étape de votre parcours jusqu’à l’amélioration de votre audition.
Vous profiterez du prix le plus juste. Notre statut mutualiste et notre absence d’actionnaires à rémunérer nous permettent de vous fournir une prestation sincère et transparente. Venez nous rencontrer !
Nous vous invitons à contacter le centre pour prendre rendez-vous pour plus de confort, afin d’éviter un trop grand nombre de personnes en même temps dans le magasin. Un protocole sanitaire a été mis en place afin de vous accueillir dans les meilleures conditions et en toute sécurité.

(suite…)

Covid-19 : comment gérer l’activité dentaire ?

Zoom sur notre centre de santé Louis Bonnefon à Marseille

Confinement, déconfinement, re-confinement… Entre fermeture de l’activité dentaire et maintien des consultations, notre centre de santé Louis Bonnefon, à Marseille, a dû faire preuve de souplesse, de réactivité mais aussi d’inventivité pour maintenir le lien avec la patientèle. Surtout pour le dentaire, rudement mis à l’épreuve par cette épidémie.

Adapter les services de soins dentaires, assurer la prévention du virus tout en fluidifiant l’accueil et la prise en charge des patients pour permettre à tous d’accéder aux soins dans des délais raisonnables… Voilà l’équation que notre centre médical et dentaire a dû résoudre cette année. Implanté dans le deuxième arrondissement de la cité phocéenne, la structure dispose en temps normal de quatre salles de consultation dentaire. Malgré l’arrêt de cette activité durant le premier confinement, le centre a réussi à garder le contact avec les patients en demande de soins.

Rester à l’écoute

« On a mis en place une plateforme d’appels téléphoniques – pilotée depuis notre site – pour l’ensemble des centres de santé d’Oxance dans les Bouches-du-Rhône », explique Nadia Riahi, responsable du centre Louis Bonnefon à Marseille. Objectif : répondre aux questions et aux interrogations des patients qui étaient pour la plupart en cours de soins et les mettre en relation directe avec les chirurgiens-dentistes. Pour cela, les assistantes dentaires ont été mises à contribution pour prendre les appels. Grâce à leur connaissance et à leurs compétences elles étaient en capacité d’analyser la demande des patients. En fonction de la situation, elles pouvaient ensuite les orienter vers les chirurgiens-dentistes. « Les patients voulaient du soin, mais ce qu’on a pu régler, c’est surtout la prise en charge de la douleur, par exemple en envoyant des ordonnances par e-mail ou directement au pharmacien », reconnait la responsable du centre. Le plus souvent, les patients étaient redirigés vers leur propre chirurgien-dentiste. Si ce n’était pas le cas, ces derniers avaient accès aux dossiers médicaux via un praticien présent sur le site, afin d’adapter les traitements en fonction des risques et des antécédents du patient. Le centre a pris en charge jusqu’à 180 appels par jour pour lesquels une réponse concrète était apportée. « On a même répondu à des patients qui n’étaient pas suivis par le centre mais qui se sont tournés vers nous car ils trouvaient porte close chez leur dentiste habituel. Tout cela a été possible grâce au concours des chirurgiens-dentistes et des orthodontistes des centres de santé Oxance 13 qui n’ont pas hésité à collaborer pleinement pendant cette période », ajoute Nadia Riahi.

Prévenir pour mieux guérir

« Ne pas pouvoir aller chez un chirurgien-dentiste, c’est la première fois que l’on a vécu cette situation. Les patients qui sont restés sans prothèse ou sans appareil dentaire ont eu peur de ne plus pouvoir se faire soigner en cas de deuxième confinement. Cela a donc naturellement généré un rebond d’activité ». La réouverture du centre a nécessité une organisation nouvelle sur des plages horaires élargies afin d’absorber le flux tout en assurant une protection maximale des chirurgiens-dentistes et de leurs patients. Lors de la prise de rendez-vous, un protocole spécifique a été mis en place afin de bien renseigner l’état de santé du patient, savoir s’il est asymptomatique, fiévreux ou en contact rapproché avec des personnes qui avaient eu la Covid. Les durées de rendez-vous ont été allongées afin d’intégrer des temps d’entrée et de sortie, des circuits de circulation particuliers : questionnaire patient, prise de température, dépose des affaires dans un bac, mise du masque, protection du patient pour le soin… Par ailleurs, un même dentiste travaillait sur deux fauteuils de manière à intégrer un temps de nettoyage et de désinfection suffisant entre deux patients.

Lever les interrogations

Face à la deuxième vague et à la perspective d’un second confinement, l’activité dentaire s’est légèrement ralentie. « Les gens n’osaient pas sortir et beaucoup se demandaient si le centre resterait ouvert. On a eu des désistements. Cela nous amené à rappeler les patients pour les rassurer et confirmer le maintien de leur rendez-vous ».

Au-delà du soin

Si l’activité dentaire a dû s’arrêter temporairement, ce n’est pas le cas pour le reste de l’activité médicale. Le centre a maintenu ses consultations (médecine générale, radiologie, spécialités…) et ses autres missions. Il travaille notamment avec des associations qui orientent des publics précaires afin qu’ils soient pris en charge dans un parcours de soin global sans que leur situation administrative (ouverture de droits) ne soit un frein à l’accès aux soins. En collaboration avec la CPAM, le centre participe également à la lutte contre le renoncement aux soins. « Le centre est un lieu de soins mais aussi un lieu de vie sociale, un lieu d’échanges. On a accompagné et rassuré au mieux notre patientèle durant cette période sur le plan médical et administratif », conclut Nadia Riahi.

Sources : https://www.mutualite.fr/actualites/covid-19-comment-gerer-lactivite-dentaire/?