Oxance a participé ce 9 et 10 février dernier, à la 23ème édition du Congrès des Internes en Médecine Générale.
L’opportunité pour tous les internes de se retrouver dans un cadre de réflexion et d’échange sur leurs préoccupations en tant que futurs médecins et/ou futurs chefs d’entreprise.
Présentes une nouvelle fois sur place, nos équipes, ont eu l’occasion de partager les valeurs fortes d’Oxance ainsi que les différentes opportunités d’emploi disponibles en centre de santé.
Emmanuel Varnier, directeur des Ressources Humaines au sein d’Oxance et le docteur Jean Ceccaldi, médecin généraliste au sein du centre de santé Oxance de Nice, ont également pu animer une conférence sur les avantages de l’exercice salarial en centre de santé.
Interview d’Ilaria Serati – Interne au centre de santé Oxance à Nice
« Je vois bien que mon activité d’interne en centre de santé mutualiste est beaucoup plus variée, plus riche qu’au CHU »
Dans quelques mois, elle sera médecin généraliste salariée. Ilaria Serati vit son dernier semestre d’internat dans un centre de santé mutualiste Oxance. Le suivi, le rapport au patient, au soin, elle ne peut que conseiller ce stage…
« Je suis interne en dernier semestre de médecine générale avec le Dr Dendievel au centre Oxance à Nice. C’est un centre de santé mutualiste. C’est mon dernier stage, en santé de la femme donc en gynécologie. Il y a 6 semestres obligatoires dans l’internat de médecine générale, et il fallait un semestre en santé de la femme. Or la plupart des stages ici à Nice se font en centre hospitalier, mais moi, je voulais compléter mon parcours ailleurs qu’à l’hôpital. Je voulais connaitre la médecine de ville, car j’ai déjà décidé quel sera mon exercice futur. J’ai choisi la médecine pénitentiaire, qui est certes rattachée au CHU, mais qui est malgré tout une activité ambulatoire. On reçoit des patients dans un cabinet. Je tenais beaucoup à avoir un stage qui ressemble à mon activité future.
« Interne dans un centre de santé mutualiste se rapproche vraiment de ce que ferait un généraliste dans son propre cabinet »
Être interne ici, en centre de santé est très important pour moi, car ce que je fais se rapproche vraiment de ce que ferait un généraliste dans son propre cabinet. J’y tenais beaucoup parce qu’aux ECNI la médecine générale était mon premier et seul choix.
Et quand je compare mon exercice ici avec mes co-internes qui suivent leur stage de gynécologie à l’hôpital, je vois bien que mon activité est beaucoup plus variée, plus riche. Les internes au CHU voient surtout des urgences et des grossesses. Ici, je vois de la gynécologie beaucoup plus différenciée, avec des tranches d’âge beaucoup plus larges. Et les motifs de consultation sont plus divers.
« Ici, on consulte vraiment à deux, c’est beaucoup plus rassurant face au patient quand on débute »
En plus, en ce qui concerne le suivi de mon stage au quotidien, être en centre de santé mutualiste est un avantage. A l’hôpital il y a au minimum deux internes pour un médecin, et surtout, ici, on consulte vraiment à deux. C’est-à-dire que je suis présente dans le cabinet avec le médecin et je peux donc avoir un recours immédiat. Dès que je propose quelque chose ou que je fais quelque chose je peux avoir un retour tout de suite. Cela n’est pas possible à l’hôpital, où l’on fait sa consultation et on en parle après, une fois la patiente partie, avec le médecin référant. Et les remarques, les questions, les doutes arrivent trop tard, même si les retours ne sont différés que d’une petite heure. C’est beaucoup plus facile d’apprendre quand le retour est immédiat. Et c’est beaucoup plus rassurant face au patient au début de ne pas consulter seule.
« Je ne suis ni capable, ni j’ai envie d’ailleurs, de gérer de la comptabilité et de l’administratif »
L’exercice mutualiste en soi, j’en avais un peu entendu parler, avant de venir. En arrivant ici j’ai vu à quoi ça correspond en réalité. Ces valeurs mutualistes de tiers payant et de médecin pour tous, sont des valeurs que je partage. Tout ce qui est social m’attire et je trouve que c’est très important en médecine générale.
J’avais déjà orienté ma carrière vers le salariat avant d’arriver, c’est beaucoup plus confortable et rassurant. Je ne suis ni capable, ni j’ai envie d’ailleurs de gérer de la comptabilité et de l’administratif. J’ai très vite compris que l’activité libérale n’était pas pour moi. »
Par Luc Angevert
– Un témoignage recueilli pour la Mutualité Française
Interview de Judith Dendievel – Médecin généraliste au centre de santé Oxance à Nice
« Permettre aux patients d’accéder à des soins de qualité, sans discrimination financière, c’est le cœur de mon exercice de médecin en centre de santé à la Mutualité »
Judith Dendievel, est médecin généraliste au centre de santé Oxance à Nice. Un exercice qu’elle adore, d’abord pour le travail en équipe, aussi pour son aspect social. Rencontre avec une vraie médecin salariée de la Mutualité et heureuse de l’être.
What’s up Doc : Que faites-vous au centre de santé mutualiste Oxance à Nice ?
Judith Dendievel : Je suis médecin généraliste, même si j’ai une activité qui est presque exclusivement gynécologique et pédiatrique ici au centre de santé mutualiste Oxance à Nice. Et je suis aussi maitre de stage d’internat depuis 3 ou 4 ans, une activité que je souhaitais faire depuis longtemps. Avant d’arriver ici à la Mutualité, je travaillais pour un autre centre de santé dans une autre région. Mes collègues avaient déjà des internes, et je trouvais ça très intéressant.
Pourquoi avoir choisi d’exercer en centre de santé ?
JD. Même avant d’arriver à Nice, j’étais déjà en centre de santé. J’ai fait très peu d’exercice libéral dans ma vie. Il y a beaucoup de choses que j’aime dans l’exercice en centre de santé, particulièrement, le fait d’être entourée de plusieurs collègues avec qui l’on peut discuter de cas clinique, de la façon de procéder au soin, d’échanger sur les nouvelles recommandations également… Le fait que l’équipe n’est pas uniquement médicale, on travaille aussi avec un secrétariat. La diversité des profils permet d’échanger autour du soin et les patients se sentent plus comme dans une petite famille, avec plusieurs référents, des têtes connues à qui s’adresser. Je trouve que c’est plus sécurisant pour eux.
Et surtout j’aime cette obligation, pour les centres de santé mutualistes, de pratiquer le tiers payant, de recevoir les patients qui ont l’AME, sans discrimination. Le côté social de la médecine, je trouve ça essentiel pour permettre aux patients d’accéder à des soins de qualité.
« Je n’ai pas à me soucier de ma propre comptabilité, du loyer, etc. Moins de chiffres et plus de soins »
Donc pour vous c’est un engagement social de soigner dans un centre mutualiste ?
JD. Bien sûr cette idée du social, allait bien avec les raisons pour lesquelles j’ai commencé médecine. Il y a aussi deux choses particulières : le fait d’être dans un centre de santé me permet d’avoir un exercice particulier, parce que j’ai des collègues qui assurent la partie médecine générale. Donc, je peux, moi généraliste, avoir un exercice en gynécologie et en pédiatrie, et cela serait plus compliqué en cabinet.
La deuxième chose, c’est le salariat que je trouve très confortable.
Et pourquoi le salariat est plus confortable ?
JD. C’est une question de gestion administrative. Je n’ai pas à me soucier de ma propre comptabilité, du loyer, etc. Moins de chiffres et plus de soins.
« Ne pas être seule, toujours réinterroger le soin, dépasser les limites que l’on a, les avancées de la médecine. Je trouve ça essentiel »
Pourquoi venir vous rejoindre en centre de santé mutualiste, donnez-nous envie.
JD. Je sais pourquoi je me lève chaque matin, et ce que je viens chercher en centre mutualiste. Je ne dis pas que je le trouve toujours complètement. Mais ce qui m’intéresse le plus c’est de ne pas travailler seule, d’avoir une dynamique de groupe, d’avoir la possibilité de questionner le soin, plutôt que de questionner les ressources financières. On peut décider de se concentrer sur tel ou tel aspect du soin, pour améliorer la santé de notre patientèle. Après ça reste compliqué parce qu’il y a quand même des enjeux économiques… Moi, je viens chercher une idée globale de la médecine et du soin, qui va dans le sens d’une amélioration du soin des personnes. Ne pas être seule, toujours réinterroger le soin, dépasser les limites que l’on a, les avancées de la médecine. Je trouve ça essentiel. C’est un enrichissement évident.
Par Luc Angevert
– Un témoignage recueilli avec le concours de la Mutualité Française
Oxance œuvre en faveur du droit des femmes à disposer de leur corps
Le droit à l’avortement est un acquis majeur des femmes et le fruit d’un long combat pour leur droit à disposer de leur corps.
Certains de nos centres de santé disposent d’une convention avec une structure hospitalière pour la pratique de l’IVG Médicamenteuse
Oxance se mobilise en faveur du personnel soignant
Oxance-Mutuelles de France s’associe à la mobilisation du 6 octobre 2021 organisée par la coordination HandiRéseaux38
Chaque jour, les professionnels qui travaillent notamment dans les établissements ou services privés à but non lucratif accompagnent des personnes en situation de handicap et s’engagent pour leur proposer un accompagnement de qualité.
Depuis des années, nos équipes redoublent d’efforts pour maintenir la qualité de ces accompagnements. Mais la situation, déjà très complexe, a été aggravée par les dispositions du Ségur de la santé qui accroissent l’écart constaté avec les établissements publics.
Au cœur de la crise sanitaire, les équipes se sont démenées pour maintenir le lien social au sein des services en garantissant la sécurité des résident·e·s.
Dès le début de l’année 2021, elles se sont mobilisées pour organiser, en lien avec les familles, la vaccination des personnes accompagnées.
Pourtant, une grande majorité de ces professionnels a été laissée de côté de manière incompréhensible lors des annonces du Ségur de la santé. Cette absence de reconnaissance constitue une réelle injustice
Les organismes gestionnaires, les équipes de direction des établissements et services se mobilisent pour faire face à la situation. Mais rien ne sera possible tant que les pouvoirs publics ne reconnaitront pas cette injustice, en prenant leurs responsabilités.
C’est pourquoi Oxance-Mutuelles de France s’associe à la mobilisation du 6 octobre 2021 organisée par la coordination HandiRéseaux38.
Vaccination Covid-19
La vaccination est ouverte à tous et sans condition
La vaccination contre la Covid-19 est possible pour toutes les personnes âgées de + de 12 ans en centres de vaccination.
Les professionnels de santé sont dans ce cadre les interlocuteurs privilégiés pour répondre aux questions que chacun peut se poser et délivrer une information complète et loyale sur la vaccination, ses bénéfices attendus et ses risques d’effets secondaires.
De nombreuses questions se posent au sujet de la vaccination contre le COVID-19.
Oxance et Solimut tentent d’y répondre grâce aux témoignages de nos professionnels de santé ainsi qu’à Carole Haze présidente de Solimut Mutuelles de France
Avec la Covid-19, le dépistage du cancer du sein continue de baisser
En France, le nombre de dépistage du cancer du sein a considérablement baissé en 2020.
Avec la situation sanitaire actuelle, beaucoup de femmes mettent en suspens leur mammographie de dépistage du cancer du sein ou décalent leurs traitements anticancer. Ces retards de prise en charge peuvent avoir de lourdes conséquences pour guérir de la maladie.
Le cancer du sein reste le cancer féminin le plus mortel avec 12 000 décès chaque année en France. Il est donc nécessaire de poursuivre les campagnes de sensibilisation et de redoubler d’efforts durant ce contexte si particulier.
Cela fait plusieurs années que le taux de participation au dépistage du cancer du sein, n’augmente pas.
Le dépistage est pourtant indispensable pour détecter la maladie tôt et ainsi mieux la prendre en charge.
42,8 % des femmes ont participé au dépistage national
Selon les chiffres recueillis pour l’année 2020 par l’agence nationale de santé publique, 2,5 millions de femmes ont effectué une mammographie de dépistage organisé, soit un taux national de participation de 42,8 %. C’est bien moins que pour l’année 2019, au cours de laquelle50 % des femmes concernéess’étaient rendues chez un radiologue pour participer au dépistage organisé.
Il est important de se faire dépister
Plusieurs actions peuvent être mises en place afin de favoriser une détection précoce du cancer du sein. L’intérêt est de pouvoir soigner ce cancer plus facilement et de limiter les séquelles liées à certains traitements.
Un examen clinique par un professionnel de santé est recommandé tous les ans dès l’âge de 25 ans.
Si vous avez entre 50 et 74 ans et que vous n’avez ni symptôme, ni facteur de risque autre que votre âge, une mammographie tous les deux ans, complétée si nécessaire par une échographie, est recommandée.
Les pouvoirs publics ont mis en place depuis 2004 un programme de dépistage organisé pour les femmes de 50 à 74 ans. Ce programme permet d’inviter toutes les femmes de cette tranche d’âge à passer régulièrement (tous les 2 ans) une mammographie de dépistage dans de très bonnes conditions.
L’objectif de ce programme est d’atteindre 70 % de participation des femmes de 50 à 74 ans et ainsi de faire diminuer le taux de mortalité par cancer du sein.
Pourquoi se faire dépister ?
Une femme sur 8 sera concerné dans sa vie par le cancer du sein.
Aujourd’hui le dépistage est une arme efficace contre ce cancer. Détecté à un stage précoce , le cancer du sein peut non seulement être guéri dans plus de 90 % des cas mais aussi être soigné par des traitements moins agressifs, moins mutilants ou entrainant moins de séquelles..
Pourtant, 1 femme sur 3 en France ne se fait toujours pas dépister ou par régulièrement.
La participation s’est stabilisée autour de 53 % (Ã ce chiffre s’ajoutent environ 10 % de femmes qui réalisent t des mammographies de dépistage à la demande du médecin ou de leur propre initiative). Il est donc nécessaire de poursuivre la mobilisation et l’information des femmes
Juin Vert : tous mobilisés pour le dépistage du cancer du col de l’utérus
Tous mobilisés pour le dépistage du cancer du col de l’utérus
Le cancer du col de l’utérus est principalement provoqué par des virus de la famille des papillomavirus humains (HPV). Il s’agit est d’une tumeur maligne développée à partir de la muqueuse du col utérin.
En général, le corps parvient à les éliminer mais, dans certains cas, ces infections peuvent persister et provoquer des lésions au niveau du col de l’utérus, susceptibles d’évoluer à terme vers un cancer.
Pourquoi le dépistage est important ?
Le cancer du col de l’utérus a bénéficié au cours de ces 20 dernières années de grandes avancées au niveau de son diagnostic et de son traitement. Grâce au dépistage par frottis du col de l’utérus, il est généralement découvert à un stade précoce, ce qui augmente significativement les chances de guérison.
Le cancer du col de l’utérus peut se développer sans donner de signes cliniques, d’où l’importance de réaliser des tests de dépistage réguliers.
Avec près de 2 800 nouveaux cas par an, le cancer du col de l’utérus est la12ème cause de cancer chez la femme. Son incidence est en recul depuis 30 ans grâce aux campagnes de dépistages individuelles auxquelles les femmes participent. En effet, le nombre de nouveaux cas, ainsi que le nombre de décès ont beaucoup diminué depuis les années 80, mais on constate un ralentissement de cette baisse depuis 2000. En France, seulement 60 % des femmes réalisent régulièrement un test de dépistage par un frottis cervico-utérin.
Les modalités de dépistage varient désormais selon l’âge des femmes
Pour les femmes entre 25 et 29 ans, les modalités de dépistage antérieures sont maintenues : le test de dépistage est réalisé par examen cytologique tous les 3 ans, après deux premiers tests réalisés à 1 an d’intervalle et dont les résultats sont normaux.
Pour les femmes de 30 ans à 65 ans, la HAS a fait évoluer les modalités de dépistage (en actualisant ses recommandations de 2010). Elle recommande que le test HPV, plus efficace pour ces femmes, remplace l’examen cytologique. Le test HPV est réalisé 3 ans après le dernier examen cytologique dont le résultat est normal. Un nouveau test est refait tous les 5 ans, jusqu’à l’âge de 65 ans, dès lors que le résultat du test est négatif. Ce test HPV est remboursé à 70 % par l’assurance maladie, en dehors du PNDO.
À la différence de l’examen cytologique qui s’intéresse à la morphologie des cellules, le test HPV cherche la présence d’ADN du virus HPV à haut risque chez les femmes. Ces deux tests sont réalisés par prélèvement de cellules au niveau du col de l’utérus (appelé « frottis »).
En quoi le dépistage consiste-t-il ?
Le dépistage se fait par frottis du col de l’utérus(frottis cervico-utérin). Cet examen, indolore et rapide, peut être réalisé par un gynécologue ou le médecin traitant. Il permet de prélever quelques cellules qui seront analysées en laboratoire. L’analyse recherchera la présence de cellules anormales ou cancéreuses. Le frottis doit être réalisé en dehors de la période des règles. Si le frottis se révèle positif, d’autres examens seront pratiqués.
Outre l’examen gynécologique, des tissus sont prélevés par biopsie ou par conisation pour une analyse anatomopathologique. Des examens d’imagerie (échographie, scanner ou IRM) sont également utilisés pour déterminer précisément le stade de développement de la tumeur.
Semaine Européenne de la vaccination
Le ministère des Solidarités et de la Santé lance la semaine européenne de la vaccination (SEV), qui se déroulera du 17 au 21 mai 2021 avec le slogan : « Prévenir, protéger, vacciner ».
La Semaine Européenne de la Vaccination (SEV) est un moment fort de l’année pour promouvoir la vaccination. Cet événement est coordonné au niveau national par le ministère des Solidarités et de la Santé et Santé publique France et piloté en région par les Agences Régionales de Santé (ARS).
Malgré la campagne de vaccination massive contre la Covid-19, il ne faut pas oublier l’importance des autres vaccinations pour préserver la santé de tous et à tout âge, que ce soit les vaccinations du nourrisson, mais aussi la vaccination des moins de 40 ans pour stopper les épidémies de rougeole ou la nouvelle extension aux garçons de la vaccination contre le papillomavirus (HPV).
Des couvertures vaccinales en augmentation
On observe une amélioration des couvertures vaccinales, qui deviennent une priorité de santé publique et poussent les pouvoirs publics à étendre l’obligation vaccinale chez les enfants de moins de 2 ans. On constate une augmentation des couvertures vaccinales chez les enfants et adolescents nés avant l’entrée en application de la loi.
La couverture vaccinale contre la Covid-19 continue également sa progression
Considérée comme un axe essentiel de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, la vaccination permet de réduire significativement les formes graves et la mortalité due au virus. La campagne vaccinale a débuté fin décembre 2020 et sera élargie à toute la population majeure à compter du 15 juin 2021.
Au 17 mai 2021 :
Plus de 20 millions de personnes ont reçu au moins une dose de vaccin contre la Covid-19 et plus de 8 millions de personnes sont complétement vaccinées, soit respectivement 30,8% et 13,4% de la population en France.