Inauguration du centre de santé polyvalent de Marignane

Un nouveau centre de santé polyvalent dans les Bouches-du-Rhône

Ce mercredi 19 juin s’est déroulée l’inauguration de notre centre de santé polyvalent de Marignane.

Anciennement centre dentaire uniquement, des travaux d’aménagement ont permis d’y ajouter une partie médicale.

Une nouvelle réponse aux problématiques de l’offre de soins sur le territoire des Bouches-du-Rhône qui répond aux besoins des patients et des professionnels de santé.

Futur centre de santé médical et dentaire Romans-sur-Isère : la pose de la première pierre

Pose de la première pierre au futur centre de santé de Romans-sur Isère

Retours en images sur la pose de la première pierre du tout prochain centre de santé médical et dentaire Oxance, qui sera livré fin d’année 2024.

Le top départ officiel des travaux a été donné en présence des principaux acteurs de ce projet qui permettra, en plein cœur de ville de Romans-sur-Isère, d’apporter des réponses adaptées aux enjeux de santé du territoire.

Une pose de première pierre préfiguratrice d’un bâtiment regroupant une offre de soins coordonnée et complète déployée sur 3 niveaux et plus de 1 000 m².

Cet événement a notamment été l’occasion pour l’un des vice-présidents d’Oxance, Antoine Di Ruzza, de remercier chaleureusement l’engagement à nos côtés :

  • de l’Etat,
  • du Conseil Régional ARA,
  • du Département de la Drôme
  • de la Ville de Romans-sur Isère et de son CCAS

et de saluer l’implication et le professionnalisme de Drôme Aménagement Habitat, maître d’ouvrage délégué

Le centre de santé Paul Paret : Une ambition mutualiste

LE CENTRE DE SANTE PAUL PARET

UNE AMBITION MUTUALISTE

Engagé à faire perdurer les valeurs mutualistes, le centre de santé Paul Paret, de par son fonctionnement spécifique et son ADN, ne cesse de d’agir en faveur de l’accès aux soins pour tous depuis 60 ans. C’est pour cela que nous avons souhaité donner la parole aux professionnels de santé, personnels administratifs et paramédicaux, patients, administrateurs Oxance et Solimut.

Soulignons l’engagement de toutes celles et ceux qui œuvrent depuis 60 ans pour l’accès à la santé de toutes et tous !

 

 

Vidéo : Edouard Granero

 

Célébration des 60 ans du centre de santé polyvalent Paul Paret

LE CENTRE DE SANTE PAUL PARET

UNE OFFRE DE SOINS MUTUALISTE DEPUIS 60 ANS SUR MARSEILLE

En présence d’élus locaux, de partenaires institutionnels et associatifs, de nombreux militants et acteurs mutualistes, une cérémonie s’est déroulée le 25 janvier au sein du centre afin de valoriser l’engagement de toutes celles et ceux qui œuvrent depuis 60 ans pour l’accès à la santé de toutes et tous.

Jean-Paul Benoit, président de la Fédération des Mutuelles de France a exposé l’histoire emblématique du centre, les combats mutualistes qui l’ont émaillée.

Carole Hazé, présidente de Solimut Mutuelle de France, a rappelé le travail commun mené pour l’accès de toutes et tous à la santé, sans discrimination. Présente au sein du centre, Solimut Mutuelle de France développe une activité de complémentaire santé et prévoyance, ainsi que des actions de prévention pour résorber les inégalités de santé.

Nicolas Souveton, président d’Oxance, a souligné la pertinence du modèle mutualiste et l’intérêt du centre de santé Paul Paret pour permettre aux populations des quartiers nord de Marseille de se faire soigner.

A l’occasion de cette cérémonie, une exposition installée de façon pérenne retraçant l’histoire, le fonctionnement et les projets du centre de santé Paul Paret a été présentée.

 

Un peu d’histoire

En 1921, Paul Paret ouvre son cabinet médical au cœur du quartier Saint-Antoine à Marseille. En cette période d’après-guerre, il découvre une population ouvrière meurtrie et laissée pour compte. Dès lors, et pendant quarante ans, le docteur Paret consacre sa vie à soigner et aider les habitants des quartiers nord, peu importe leur situation. À la fin de sa vie, Paul Paret décide de céder sa maison, à une seule condition : que sa propriété devienne un lieu de soins accessible à toutes et tous. L’Union départementale mutualiste des travailleurs des Bouches-du-Rhône (UDMT) se charge d’accomplir les dernières volontés du médecin. En 1963, sa propriété devient un centre de santé. Les habitants bénéficient alors pour la première fois d’une équipe de généralistes et de spécialistes, d’un service de radiologie et d’un laboratoire. La gestion du centre de santé est reprise dans les années 80 par le Grand Conseil de la Mutualité, en continuant de s’inscrire dans le combat mutualiste pour le droit à la santé et l’accès de toutes et tous à des soins de qualité.

Les activités du Grand Conseil de la Mutualité sont reprises par Oxance qui gère depuis le centre de santé polyvalent Paul Paret.

 

La participation d’Oxance au congrès de L’ISNAR

Oxance a participé ce 9 et 10 février dernier, à la 23ème édition du Congrès des Internes en Médecine Générale.  

L’opportunité pour tous les internes de se retrouver dans un cadre de réflexion et d’échange sur leurs préoccupations en tant que futurs médecins et/ou futurs chefs d’entreprise.

Présentes une nouvelle fois sur place, nos équipes, ont eu l’occasion de partager les valeurs fortes d’Oxance ainsi que les différentes opportunités d’emploi disponibles en centre de santé.

Emmanuel Varnier, directeur des Ressources Humaines au sein d’Oxance et le docteur Jean Ceccaldi, médecin généraliste au sein du centre de santé Oxance de Nice, ont également pu animer une conférence sur les avantages de l’exercice salarial en centre de santé.

 

Interview d’Ilaria Serati – Interne au centre de santé Oxance à Nice

« Je vois bien que mon activité d’interne en centre de santé mutualiste est beaucoup plus variée, plus riche qu’au CHU »

 

Dans quelques mois, elle sera médecin généraliste salariée. Ilaria Serati vit son dernier semestre d’internat dans un centre de santé mutualiste Oxance. Le suivi, le rapport au patient, au soin, elle ne peut que conseiller ce stage…

 

« Je suis interne en dernier semestre de médecine générale avec le Dr Dendievel au centre Oxance à Nice. C’est un centre de santé mutualiste. C’est mon dernier stage, en santé de la femme donc en gynécologie. Il y a 6 semestres obligatoires dans l’internat de médecine générale, et il fallait un semestre en santé de la femme. Or la plupart des stages ici à Nice se font en centre hospitalier, mais moi, je voulais compléter mon parcours ailleurs qu’à l’hôpital. Je voulais connaitre la médecine de ville, car j’ai déjà décidé quel sera mon exercice futur. J’ai choisi la médecine pénitentiaire, qui est certes rattachée au CHU, mais qui est malgré tout une activité ambulatoire. On reçoit des patients dans un cabinet. Je tenais beaucoup à avoir un stage qui ressemble à mon activité future.

 

« Interne dans un centre de santé mutualiste se rapproche vraiment de ce que ferait un généraliste dans son propre cabinet »

 

Être interne ici, en centre de santé est très important pour moi, car ce que je fais se rapproche vraiment de ce que ferait un généraliste dans son propre cabinet. J’y tenais beaucoup parce qu’aux ECNI la médecine générale était mon premier et seul choix.
Et quand je compare mon exercice ici avec mes co-internes qui suivent leur stage de gynécologie à l’hôpital, je vois bien que mon activité est beaucoup plus variée, plus riche. Les internes au CHU voient surtout des urgences et des grossesses. Ici, je vois de la gynécologie beaucoup plus différenciée, avec des tranches d’âge beaucoup plus larges. Et les motifs de consultation sont plus divers.

 

« Ici, on consulte vraiment à deux, c’est beaucoup plus rassurant face au patient quand on débute »

 

En plus, en ce qui concerne le suivi de mon stage au quotidien, être en centre de santé mutualiste est un avantage. A l’hôpital il y a au minimum deux internes pour un médecin, et surtout, ici, on consulte vraiment à deux. C’est-à-dire que je suis présente dans le cabinet avec le médecin et je peux donc avoir un recours immédiat. Dès que je propose quelque chose ou que je fais quelque chose je peux avoir un retour tout de suite. Cela n’est pas possible à l’hôpital, où l’on fait sa consultation et on en parle après, une fois la patiente partie, avec le médecin référant. Et les remarques, les questions, les doutes arrivent trop tard, même si les retours ne sont différés que d’une petite heure. C’est beaucoup plus facile d’apprendre quand le retour est immédiat. Et c’est beaucoup plus rassurant face au patient au début de ne pas consulter seule.

 

« Je ne suis ni capable, ni j’ai envie d’ailleurs, de gérer de la comptabilité et de l’administratif »

 

L’exercice mutualiste en soi, j’en avais un peu entendu parler, avant de venir. En arrivant ici j’ai vu à quoi ça correspond en réalité. Ces valeurs mutualistes de tiers payant et de médecin pour tous, sont des valeurs que je partage. Tout ce qui est social m’attire et je trouve que c’est très important en médecine générale.

J’avais déjà orienté ma carrière vers le salariat avant d’arriver, c’est beaucoup plus confortable et rassurant. Je ne suis ni capable, ni j’ai envie d’ailleurs de gérer de la comptabilité et de l’administratif. J’ai très vite compris que l’activité libérale n’était pas pour moi. »

 

Par Luc Angevert
– Un témoignage recueilli pour la Mutualité Française

Source : https://www.whatsupdoc-lemag.fr/article/je-vois-bien-que-mon-activite-dinterne-en-centre-de-sante-mutualiste-est-beaucoup-plus

Interview de Judith Dendievel – Médecin généraliste au centre de santé Oxance à Nice

« Permettre aux patients d’accéder à des soins de qualité, sans discrimination financière, c’est le cœur de mon exercice de médecin en centre de santé à la Mutualité »

Judith Dendievel, est médecin généraliste au centre de santé Oxance à Nice. Un exercice qu’elle adore, d’abord pour le travail en équipe, aussi pour son aspect social. Rencontre avec une vraie médecin salariée de la Mutualité et heureuse de l’être.

 

What’s up Doc : Que faites-vous au centre de santé mutualiste Oxance à Nice ?

Judith Dendievel : Je suis médecin généraliste, même si j’ai une activité qui est presque exclusivement gynécologique et pédiatrique ici au centre de santé mutualiste Oxance à Nice. Et je suis aussi maitre de stage d’internat depuis 3 ou 4 ans, une activité que je souhaitais faire depuis longtemps. Avant d’arriver ici à la Mutualité, je travaillais pour un autre centre de santé dans une autre région. Mes collègues avaient déjà des internes, et je trouvais ça très intéressant.

 

Pourquoi avoir choisi d’exercer en centre de santé ?

JD. Même avant d’arriver à Nice, j’étais déjà en centre de santé. J’ai fait très peu d’exercice libéral dans ma vie. Il y a beaucoup de choses que j’aime dans l’exercice en centre de santé, particulièrement, le fait d’être entourée de plusieurs collègues avec qui l’on peut discuter de cas clinique, de la façon de procéder au soin, d’échanger sur les nouvelles recommandations également… Le fait que l’équipe n’est pas uniquement médicale, on travaille aussi avec un secrétariat. La diversité des profils permet d’échanger autour du soin et les patients se sentent plus comme dans une petite famille, avec plusieurs référents, des têtes connues à qui s’adresser. Je trouve que c’est plus sécurisant pour eux.
Et surtout j’aime cette obligation, pour les centres de santé mutualistes, de pratiquer le tiers payant, de recevoir les patients qui ont l’AME, sans discrimination. Le côté social de la médecine, je trouve ça essentiel pour permettre aux patients d’accéder à des soins de qualité.

 

« Je n’ai pas à me soucier de ma propre comptabilité, du loyer, etc. Moins de chiffres et plus de soins »

 

Donc pour vous c’est un engagement social de soigner dans un centre mutualiste ?

JD. Bien sûr cette idée du social, allait bien avec les raisons pour lesquelles j’ai commencé médecine. Il y a aussi deux choses particulières : le fait d’être dans un centre de santé me permet d’avoir un exercice particulier, parce que j’ai des collègues qui assurent la partie médecine générale. Donc, je peux, moi généraliste, avoir un exercice en gynécologie et en pédiatrie, et cela serait plus compliqué en cabinet.
La deuxième chose, c’est le salariat que je trouve très confortable.

 

Et pourquoi le salariat est plus confortable ?

JD. C’est une question de gestion administrative. Je n’ai pas à me soucier de ma propre comptabilité, du loyer, etc. Moins de chiffres et plus de soins.

 

« Ne pas être seule, toujours réinterroger le soin, dépasser les limites que l’on a, les avancées de la médecine. Je trouve ça essentiel »

 

Pourquoi venir vous rejoindre en centre de santé mutualiste, donnez-nous envie.

JD. Je sais pourquoi je me lève chaque matin, et ce que je viens chercher en centre mutualiste. Je ne dis pas que je le trouve toujours complètement. Mais ce qui m’intéresse le plus c’est de ne pas travailler seule, d’avoir une dynamique de groupe, d’avoir la possibilité de questionner le soin, plutôt que de questionner les ressources financières. On peut décider de se concentrer sur tel ou tel aspect du soin, pour améliorer la santé de notre patientèle. Après ça reste compliqué parce qu’il y a quand même des enjeux économiques… Moi, je viens chercher une idée globale de la médecine et du soin, qui va dans le sens d’une amélioration du soin des personnes. Ne pas être seule, toujours réinterroger le soin, dépasser les limites que l’on a, les avancées de la médecine. Je trouve ça essentiel. C’est un enrichissement évident.

 

Par Luc Angevert
– Un témoignage recueilli avec le concours de la Mutualité Française

Source : https://www.whatsupdoc-lemag.fr/article/permettre-aux-patients-dacceder-des-soins-de-qualite-sans-discrimination-financiere-cest-le

Oxance œuvre en faveur du droit des femmes à disposer de leur corps

Le droit à l’avortement est un acquis majeur des femmes et le fruit d’un long combat pour leur droit à disposer de leur corps.

Certains de nos centres de santé disposent d’une convention avec une structure hospitalière pour la pratique de l’IVG Médicamenteuse

 

 

Oxance se mobilise en faveur du personnel soignant

Oxance-Mutuelles de France s’associe à la mobilisation du 6 octobre 2021 organisée par la coordination HandiRéseaux38

Chaque jour, les professionnels qui travaillent notamment dans les établissements ou services privés à but non lucratif accompagnent des personnes en situation de handicap et s’engagent pour leur proposer un accompagnement de qualité.

Depuis des années, nos équipes redoublent d’efforts pour maintenir la qualité de ces accompagnements. Mais la situation, déjà très complexe, a été aggravée par les dispositions du Ségur de la santé qui accroissent l’écart constaté avec les établissements publics.

Au cœur de la crise sanitaire, les équipes se sont démenées pour maintenir le lien social au sein des services en garantissant la sécurité des résident·e·s.

Dès le début de l’année 2021, elles se sont mobilisées pour organiser, en lien avec les familles, la vaccination des personnes accompagnées.

Pourtant, une grande majorité de ces professionnels a été laissée de côté de manière incompréhensible lors des annonces du Ségur de la santé. Cette absence de reconnaissance constitue une réelle injustice

Les organismes gestionnaires, les équipes de direction des établissements et services se mobilisent pour faire face à la situation. Mais rien ne sera possible tant que les pouvoirs publics ne reconnaitront pas cette injustice, en prenant leurs responsabilités.

C’est pourquoi Oxance-Mutuelles de France s’associe à la mobilisation du 6 octobre 2021 organisée par la coordination HandiRéseaux38.